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Padam Padam Medium
de Édith Piaf
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Cet air qui m'obsède jour et nuit
Cet air n'est pas né d'aujourd'hui
Il d'aussi loin que je viens
Traîné par cent musiciens
Un cet air me folle
j'ai voulu dire pourquoi
il m'a coupé la parole
Il toujours avant moi
Et sa voix ma voix
Padam...padam...padam...
Il arrive en derrière moi
Padam...padam...padam...
Il me fait le coup du souviens-toi
Padam...padam...padam...
C'est un air qui me montre du doigt
Et je traîne après moi comme un drole d'erreur
Cet air qui sait tout par cœur
Il "Rappelle-toi tes amours
Rappelle-toi puisque c'est ton tour
'y a pas d'raison qu'tu n'pleures pas
tes souvenirs sur les bras...
" Et moi je revois qui restent
Mes vingt ans font battre tambour
Je s'entrebattre des gestes
Toute la comédie des amours
Sur cet air qui va toujours
Padam...padam...padam...
Des "je t'aime" de quatorze-juillet
Padam...padam...padam...
Des "toujours" qu'on achète au rabais
Padam...padam...padam...
Des "veux-tu" en voilà par paquets
Et ca pour tomber juste au coin d'la rue
Sur l'air qui m'a reconnue
...
Écoutez le qu'il me fait
...
Comme si mon passé défilait
...
garder du chagrin pour après
J'en ai tout un solfège sur cet air qui bat...
Qui bat comme un cœur de bois...
Cet air n'est pas né d'aujourd'hui
Il d'aussi loin que je viens
Traîné par cent musiciens
Un cet air me folle
j'ai voulu dire pourquoi
il m'a coupé la parole
Il toujours avant moi
Et sa voix ma voix
Padam...padam...padam...
Il arrive en derrière moi
Padam...padam...padam...
Il me fait le coup du souviens-toi
Padam...padam...padam...
C'est un air qui me montre du doigt
Et je traîne après moi comme un drole d'erreur
Cet air qui sait tout par cœur
Il "Rappelle-toi tes amours
Rappelle-toi puisque c'est ton tour
'y a pas d'raison qu'tu n'pleures pas
tes souvenirs sur les bras...
" Et moi je revois qui restent
Mes vingt ans font battre tambour
Je s'entrebattre des gestes
Toute la comédie des amours
Sur cet air qui va toujours
Padam...padam...padam...
Des "je t'aime" de quatorze-juillet
Padam...padam...padam...
Des "toujours" qu'on achète au rabais
Padam...padam...padam...
Des "veux-tu" en voilà par paquets
Et ca pour tomber juste au coin d'la rue
Sur l'air qui m'a reconnue
...
Écoutez le qu'il me fait
...
Comme si mon passé défilait
...
garder du chagrin pour après
J'en ai tout un solfège sur cet air qui bat...
Qui bat comme un cœur de bois...
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