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A chacun de nos souffles
Au moindre murmure des bas fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que l'on pavait de fortune
Contre le tintamarre du pognon
A tout moment la rue peut aussi non
A tout moment la rue peut aussi dire non
C'est un pincement de lèvres
Et la peur qui perle d'un front
La faune et la flore à cran en haillons
Et l'éclat de nos palpitants
Dans l'ombre du marteau pilon
A tout moment la rue peut aussi non
A tout moment la rue dire non
Non un oui
Aux arbres chevelus
A tout ce qui nous lie
Quand la remue
Aux astres et aux déesses
Qui peuplent nos rêves
Et quand le crève...
A tout moment la rue peut dire...
Et si quelques noirs en blancs
Poivrent nos yeux
D'ondes occultes en tubes et creux
A bien compter le monde
Est X plus nombreux
Que ces 300 familles qui sur la rue ont pignon
A tout elle peut aussi dire non...
Comme un oui
Aux arbres chevelus
A tout ce qui nous lie
Quand la nuit remue
Aux astres et aux déesses
Qui peuplent nos rêves
Et quand le peuple rêve il aime...
de lui-même
Disposer de lui-même
Non
Non comme un oui
Aux arbres chevelus
A ces nuits qui nous lient
Et même si elles ont trop bu
C'est aux astres et aux déesses
Qui nos rêves
Et quand le crève...
A tout la rue peut aussi dire...
A chacun de nos souffles
Au des bas fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que l'on pavait de fortune
Contre le tintamarre du pognon
A tout moment la rue peut aussi dire non
A tout moment la rue peut non
A tout moment la rue peut aussi non
A tout moment la rue aussi dire non
A tout moment la rue aussi dire non
A moment la rue peut aussi non
A moment la rue aussi dire non
A tout moment la rue peut dire non
A tout moment la rue peut aussi dire non
Au moindre murmure des bas fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que l'on pavait de fortune
Contre le tintamarre du pognon
A tout moment la rue peut aussi non
A tout moment la rue peut aussi dire non
C'est un pincement de lèvres
Et la peur qui perle d'un front
La faune et la flore à cran en haillons
Et l'éclat de nos palpitants
Dans l'ombre du marteau pilon
A tout moment la rue peut aussi non
A tout moment la rue dire non
Non un oui
Aux arbres chevelus
A tout ce qui nous lie
Quand la remue
Aux astres et aux déesses
Qui peuplent nos rêves
Et quand le crève...
A tout moment la rue peut dire...
Et si quelques noirs en blancs
Poivrent nos yeux
D'ondes occultes en tubes et creux
A bien compter le monde
Est X plus nombreux
Que ces 300 familles qui sur la rue ont pignon
A tout elle peut aussi dire non...
Comme un oui
Aux arbres chevelus
A tout ce qui nous lie
Quand la nuit remue
Aux astres et aux déesses
Qui peuplent nos rêves
Et quand le peuple rêve il aime...
de lui-même
Disposer de lui-même
Non
Non comme un oui
Aux arbres chevelus
A ces nuits qui nous lient
Et même si elles ont trop bu
C'est aux astres et aux déesses
Qui nos rêves
Et quand le crève...
A tout la rue peut aussi dire...
A chacun de nos souffles
Au des bas fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que l'on pavait de fortune
Contre le tintamarre du pognon
A tout moment la rue peut aussi dire non
A tout moment la rue peut non
A tout moment la rue peut aussi non
A tout moment la rue aussi dire non
A tout moment la rue aussi dire non
A moment la rue peut aussi non
A moment la rue aussi dire non
A tout moment la rue peut dire non
A tout moment la rue peut aussi dire non
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