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Marseille Medium
de Patrick Fiori
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C’est comme on retombe un jour
Sur une ancienne
Le papier a un peu jauni
Mais les couleurs reviennent
Alors on fait les yeux fermés
Un retour en arrière
Oh ! j’espère que je serai toujours
moi à Marseille
Et le Vieux-Port qui semblait lancer
Les deux bras vers la mer
Est-ce qu’il se souvient que déjà
Je pour lui plaire ?
Je ne l’ai pas aimé les jours
Mais j’ai souffert de lui
Oh ! j’espère que je serai toujours
Chez moi à Marseille
C’est vrai
Bien souvent j’oublie la distance
Qui m'a fait quitter les rues de l’enfance
Je suis parti loin pour saisir ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j’y pense
Oh ! Marseille
C’est comme quand on reste trop longtemps
A le soleil
On ouvre les doucement
Et les reviennent
Un peu plus belles
Comme ces années de misère et de joie
Passées là-bas
Oh ! j’espère que je serai toujours
moi à Marseille
C’est vrai
souvent j’oublie la distance
Qui m'a fait les rues de l’enfance
Je suis loin pour saisir ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j’y pense
Je suis chez moi à Marseille
C’est vrai
j’oublie la distance
Qui m'a quitter les de l’enfance
Je suis ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j’y pense
Non pas pour ne plus que j’y pense
...
Je suis chez moi à Marseille
Je suis chez moi à Marseille
Chez moi à Marseille
Chez moi à Marseille
Sur une ancienne
Le papier a un peu jauni
Mais les couleurs reviennent
Alors on fait les yeux fermés
Un retour en arrière
Oh ! j’espère que je serai toujours
moi à Marseille
Et le Vieux-Port qui semblait lancer
Les deux bras vers la mer
Est-ce qu’il se souvient que déjà
Je pour lui plaire ?
Je ne l’ai pas aimé les jours
Mais j’ai souffert de lui
Oh ! j’espère que je serai toujours
Chez moi à Marseille
C’est vrai
Bien souvent j’oublie la distance
Qui m'a fait quitter les rues de l’enfance
Je suis parti loin pour saisir ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j’y pense
Oh ! Marseille
C’est comme quand on reste trop longtemps
A le soleil
On ouvre les doucement
Et les reviennent
Un peu plus belles
Comme ces années de misère et de joie
Passées là-bas
Oh ! j’espère que je serai toujours
moi à Marseille
C’est vrai
souvent j’oublie la distance
Qui m'a fait les rues de l’enfance
Je suis loin pour saisir ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j’y pense
Je suis chez moi à Marseille
C’est vrai
j’oublie la distance
Qui m'a quitter les de l’enfance
Je suis ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j’y pense
Non pas pour ne plus que j’y pense
...
Je suis chez moi à Marseille
Je suis chez moi à Marseille
Chez moi à Marseille
Chez moi à Marseille
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